Ma thèse propose une analyse de l’agroécologie depuis deux collectifs de femmes indigènes (au Chili et en Equateur), non seulement comme pratique agricole basée sur la souveraineté alimentaire et la défense des territoires, mais aussi comme source d’émancipation féministe.
L’un des objectifs principaux de cette recherche est d’articuler agroécologie, (éco)féminisme et critiques sur la colonialité du pouvoir et des savoirs à l’analyse du modèle agro-industriel dominant.