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  • L’analyse des transformations du système productif.
  
  
  • _ Nous nous intéressons aux nouvelles formes d’organisation de l’activité économique, au plan des entreprises, des secteurs et des territoires. Nous avons développé (avec E.M. Mouhoud) la notion de « Division cognitive du travail » pour rendre compte des nouveaux fondements des frontières des entreprises et des relations interfirmes dans le cadre de l’économie de la connaissance. Plus récemment, avec les notions de « modularité », de « bouquet » et d’« intégrateur », nous tentons de rendre compte de l’émergence d’une nouvelle structuration du système productif autour d’acteurs dont la fonction est de faire le lien entre l’espace des savoirs et celui des besoins. Enfin, plus généralement, nous avons travaillé sur la diffusion des organisations en réseau et engagé une réflexion théorique sur la notion de « marché relationnel ».
  
  
  
  

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  • L’élaboration d’outils méthodologiques et de diagnostic.
  
  
  
  

_ Depuis plusieurs années, nous travaillons à la formalisation d’une méthode d’analyse des secteurs. Nos travaux récents en la matière se sont concentrés sur la construction d’une démarche de prospective sectorielle. Nous avons également travaillé à une méthodologie de diagnostic de territoires.

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  • Le secteur du commerce.
  
  
  
  

_ À la suite de différentes études réalisées dans le passé sur le secteur du commerce, nous avons publié en 2001 un livre sur la grande distribution (L’avenir de la grande distribution) qui tente de rendre compte des transformations de ce secteur à l’aune des mutations du système économique et sociétal. Ce travail est prolongé par de nouvelles recherches sur différents aspects de la dynamique du secteur commercial (le commerce électronique, les nouveaux concepts de magasins, la géographie du commerce…).

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  • La socioéconomie de la consommation.
  
  
  
  

_ Notre rapport pour le Conseil d’analyse économique (avec Robert Rochefort) sur la mesure du pouvoir d’achat propose un certain nombre d’explications à l’écart entre le mesuré et le perçu. Il propose de nouveaux indicateurs du coût de la vie. Plus récemment, nous avons conduit une enquête sur la perception que les Français ont du « prix juste » dans la lignée des travaux lancés par Kahneman et Thaler dans le milieu des années 1980. Nous travaillons actuellement à l’analyse des modèles de consommation permettant de concilier croissance et développement durable.