L’Université Coopérative Internationale (LUCI)
LUCI est portée en France par deux laboratoires de Paris 8 et de Paris Nanterre (UMR CNRS LADYSS 7533 P8 et P13 et l’ EA EXPERICE 394) et par ses membres fondateurs : les représentants élus des indigènes de l’Observatoire OTSS, La Fondation Fiocruz du Brésil, l’ Université de Coimbra (Centre d’ Etudes Sociales de Coimbra) ainsi que par 17 laboratoires SHS en Europe et à l’international et des ONG dans le cadre d’une convention réseau.
LUCI est une coopérative :
de partage de savoirs, de recherches, d’ expériences et de formation à la recherche par la recherche entrant dans le cadre de l’Agenda Santé 2030 de l’ONU – ODD3.
un tiers-lieu de dispositifs expérimentaux de prévention dans le cadre de la santé publique critique, centré sur le concept de One Health.
LUCI est une coopérative de chercheurs collectifs coopératifs, inscrite dans les théories critiques et les Épistémologies du Sud. Elle vient en soutien aux territoires vulnérables par :
la recherche coopérative avec les populations ;
la formation à la recherche par la recherche ;
la mise en coopération des savoirs, des connaissances et des expériences ;
la création de dispositifs expérimentaux de rencontres, et de production, de co-construction.
Fiche de présentation de LUCI, cliquez ici
Présentation diaporama de LUCI, cliquez ici
Réseau Urban Sustainability Research Coordination Network financé par la NSF.
Il a permis de développer des collaborations de long terme entre la France et les États-Unis sur les mobilisations environnementales dans les villes et de déposer des réponses conjointes à des appels à projets associant également Sciences Po Paris et le Stockholm Resilience Center dans le cadre du Projet « Politiques de la Terre » coordonné par Bruno Latour et financé par la COMUE USPC.
Pour en savoir plus : http://www.urban-sustainability-rcn.org/
Hub européen de l’UCCRN (Urban Climate Change Research Network) .
Créé en mai 2007 lors du C40 Large Cities Climate Summit tenu à New York, l’UCCRN, un groupe initial de 100 chercheurs dans 60 villes, a pour objectif de fournir des connaissances aux grandes métropoles et à d’autres décideurs urbains afin d’améliorer l’élaboration des politiques axées sur le climat. Au fur et à mesure que les villes deviennent des acteurs centraux du changement climatique, la demande de connaissances augmente. Pour soutenir une action appropriée au niveau des villes, un Hub européen a été créé à partir de 2016 auquel contribue le LADYSS.
Pour en savoir plus : http://www.uccrn-europe.org/
Réseau COST “Investigating cultural sustainability” (European Cooperation in Science and Technology – COST IS1007) jusqu’en 2015.
En conclusion de cette action COST, un rapport intitulé Culture in, for and as sustainable development a été rédigé par de nombreux auteurs (dont Nathalie Blanc qui était la déléguée française). Le but de l’action était d’aider à comprendre et à déterminer le rôle que joue la culture dans le développement durable. Les résultats du travail, y compris la publication du rapport, où les trois rôles de la culture dans le développement durable identifiés par l’Action sont illustrés par des cas concrets, ont été partagés et discutés dans une dernière conférence publique à Helsinki du 6 au 8 mai 2015, « Culture(s) in sustainable futures : theories, policies, practices ». Au cours de sa période de quatre ans (2011-2015), son objectif principal était de mettre en lumière la recherche européenne dans ses pays membres afin de fournir aux décideurs des instruments d’intégration de la culture comme élément-clé du développement durable. Le réseau d’action était composé d’une centaine de chercheurs de 25 pays au sein de l’UE, avec des participants d’Israël, de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie. Il a inclus une grande variété de disciplines et domaines de recherche, allant des sciences humaines et sociales, aux sciences politiques et du vivant à la planification.
Pour en savoir plus : http://www.culturalsustainability.eu/conclusions.pdf
Réseau COST “New materialism : networking European scholarship on ‘How matter comes to matter’ ” (European Cooperation in Science and Technology – COST IS1307).
Il a donné lieu à une conférence organisée par le LADYSS et le COST à l’Unesco en juin 2017 avec plus de deux cents participants et a permis d’introduire ces thématiques de recherche nouvelles en France et à l’international, contribuant à la place du LADYSS et de la France au Forum mondial des humanités à Liège en août 2017. Nathalie Blanc est la déléguée française.
Pour en savoir plus : http://newmaterialism.eu/
RIODD (Réseau international sur les organisations et le développement durable).
Son objectif est de participer à la diffusion des débats, académiques ou ancrés au sein de la société civile, autour des enjeux liés au développement durable, en s’intéressant en particulier au rôle qu’y jouent ou peuvent jouer les entreprises et les organisations. Beaucoup des membres du LADYSS sont engagés dans des initiatives favorisant ces échanges et contribuent aussi au processus réflexif et normatif.
Pour en savoir plus : http://riodd.net/
GDRI “International Research Network Ecosystem health and environmental disease ecology” (IRN EHEDE).
Le GDRI a pour objectif de mettre en réseau des équipes internationales travaillant sur la santé des écosystèmes (définie comme la viabilité à long terme des processus écologiques et des services écosystémiques associés). Deux axes thématiques sont développés, l’un sur l’écologie des maladies environnementales avec les questions de transmission de maladie de l’animal à l’homme, l’autre sur l’évaluation des conflits hommes/faune sauvage autour de la question : comment concilier activités humaines et conservation d’espèces emblématiques (éléphant d’Asie, Rhinopithèque de Biet). Le GDRI a également un axe méthodologique sur la collecte et le traitement de données, ainsi que les outils de modélisation-simulation dans lequel Céline Clauzel organise des formations sur des logiciels de modélisation et participe à des workshops.
Pour en savoir plus : http://gdri-ehede.univ-fcomte.fr
Réseau africain de recherche en urbanisation (RUBAFRIQUE).
Ce réseau international a été créé en 2012 pour mobiliser différentes équipes de recherche travaillant dans le champ urbain en Afrique. Ce réseau a bénéficié d’un financement (2013-2015 compris) du ministère des Affaires étrangères (France) suite à un appel à projet lancé dans le cadre des programmes du Fonds de solidarité prioritaire (FSP). Les équipes membres viennent, outre le LADYSS, du Cameroun, de Côte d’Ivoire, d’Ouganda, de Tanzanie et du Tchad. Plusieurs activités dont deux colloques, des ateliers de formation doctorale, etc. sont à l’actif de ce réseau (dont la coordination est basée à Yaoundé et animée par R.J. Assako Assako, professeur de géographie). La représentation du LADYSS est assurée par Bezunesh Tamru et Alphonse Yapi-Diahou qui assure la vice-présidence du comité scientifique de l’ensemble du FSP, après avoir rédigé le texte d’orientation et d’appel à projets. Selon les règles du MAE, il a été l’accompagnateur scientifique de ce réseau dont il a piloté les comités scientifiques des deux colloques (2015 et 2016).
Pour en savoir plus : www.rubafrique.org/