UMR7533

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Maryam Mohseni Moghadam

Doctorante
Université Paris Diderot
École doctorale 382
Année de première inscription  : 2016/2017

Soutenance de thèse : 19 décembre 2023

Géographie/Urbanisme

Master d’origine : Architecture
Directrice de thèse : Nathalie Blanc
Cotutelle : Mohammad-Reza Masvani (Iran)

THÈMES DE RECHERCHE DÉVELOPPÉS

 

    • Globalisation financière
    • Politiques monétaires
    • Crises financières
    • Réglementation bancaire

 

MOTS-CLÉS

architecture verte, écologie, paysage durable, paysage urbain, Téhéran


COMMUNICATIONS

»»»- Mohseni Moghadam M., 2013. Connaissance des modèles de durabilité dans l’architecture du logement local en climat chaud et aride. Communication à Première Brique : 1re Conférence régionale sur l’architecture durable et l’urbanisme, Centre culturel et d’enseignement Sama, unité d’Izée.

»»»- Mohseni Moghadam M., 2013. Exploitation énergétique dans les cités résidentielles avec une approche durable, cas d’étude : cité village Homs en Californie. Communication à la 1re Conférence sur l’architecture et les espaces urbains durables, Université Ferdowsi, Mashhad.

»»»- Mohseni Moghadam M., 2013. Utilisation de l’énergie solaire dans les logements, cas d’étude, cité Derik Landing au Canada. Communication à la Conférence internationale sur le génie civil, l’architecture et le développement durable, Université libre de Tabriz.


TITRE DE LA THÈSE

Approche paysagiste à l’égard de la structure écologique de la ville de Téhéran


RÉSUMÉ DE LA THÈSE

Malgré ses capacités écologiques importantes, Téhéran n’a pas pu les exploiter. Sa situation au pied des montagnes Alborz, ses conditions météorologiques particulières, l’existence des vallées-rivières et espaces verts sur l’ensemble de la ville, en plus de créer un climat tempéré, rendent possible une bonne planification pour les amateurs de la nature.
D’autre part, le système urbain et architectural traditionnel iranien a su, durant les siècles, s’adapter aux climats du pays. Dans le modèle historique, les iraniens construisaient des cours et en exploitant l’eau et la flore, composaient la nature à la vie, ce qui en plus d’un aspect esthétique, portait attention à l’affinement de l’espace et de l’esprit de l’homme.
L’indifférence à l’histoire de l’architecture et de l’urbanisme en plus de l’ignorance des capacités écologiques de Téhéran, ont suscité la crise que nous connaissons aujourd’hui. Les approches organiques et parcellaires qui dominent la gestion de la ville et son développement, n’ont pas réussi à mettre à profit les potentiels existants dans le cycle de développement et n’ont pas su faire de Téhéran une ville écologique durable.
Les objectifs principaux que suivent cette thèse sont :
• La rédaction du cadre théorique d’un paysage écologique idéal pour Téhéran
• La définition locale de l’architecture durable, compte tenu de l’histoire de l’architecture en Iran
• L’analyse de la cohérence écologique de Téhéran en liaison avec les plans d’urbanisme du développement de la ville.