UMR7533

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Afef Jaziri Bousmina

Doctorante
Université Paris 8 Saint-Denis
École doctorale Sciences Sociales (ED 401)
Année de première inscription  : 2019

Géographie

Master d’origine : Géographie espace et territoire
Directrice de thèse : Pascale FROMENT
Co-directeur : M. Ben Jelloul (Université de Tunis), depuis octobre 2019, (encadrement 50%)

Atelier du LADYSS : Atelier 2 – Transitions : organisations, territoires et sociétés

THÈMES DE RECHERCHE DÉVELOPPÉS

 

    • Globalisation financière
    • Politiques monétaires
    • Crises financières
    • Réglementation bancaire

 

MOTS-CLÉS

Périurbanisation ; étalement urbain ; acteurs ; foncier ; gouvernance ; réhabilitation ; Bizerte


TITRE DE LA THÈSE

Dynamiques des espaces périurbains au Nord et à l’Ouest de la ville de Bizerte entre stratégie d’acteurs et enjeux territoriaux.


RÉSUMÉ DE LA THÈSE

Quatrième ville de la Tunisie, la ville de Bizerte (136 917 habitants) enregistre un taux d’accroissement urbain de l’ordre de 3.4 %. Les dimensions économiques et démographiques de cet accroissement sont au cœur des processus d’étalement urbain et les dynamiques de périurbanisation et qui sont à l’origine de la multiplication des couronnes périurbaines qu’anime la ville.
L’étalement de la ville de Bizerte sur ses marges nord et ouest a entrainé une dynamique démographique, économique et spatiale remarquable. Les quartiers appartenant aux secteurs deAin Mariam, Farhat Hached, Sidi H’med et la Pêcherie se sont développés d’une manière spontanée et rapide profitant de la crise du secteur foncier que connait la ville de Bizerte
Les dualités rural-urbain et étalement urbain–périurbanisation sont omniprésentes dans nos secteurs d’étude.
Quelles sont les dynamiques économiques, sociales et territoriales qui caractérisent les périurbains du Nord et à l’ouest de la ville de Bizerte ?
Qui sont les acteurs qui participent à ces dynamiques ? Selon quelles modalités transforment-elles les villes ?
A Terme de ce projet de thèse, la réponse à ces questions doit nous conduire à une cartographie de « mode urbain » où la dynamique de l’occupation des sols est sa principale variable. ».